3.
L’épigraphie
C. L’archéologie grecque et romaine sur Internet
1.
Les moteurs de recherche
2.
Les sites bibliographiques
3.
Les sites, les monuments, les musées
D. Les écoles et instituts
• http://argos.evansville.edu/
L’outil de recherche le plus simple, dédié à l’histoire
ancienne.
• http://www.lycos.com
Un site dédié aux centres de recherche universitaires.
• http://urec.cnrs.fr/annuaire/
Moteur de recherche du site de l’UREC (Unité Réseaux
du CNRS) qui indexe les sites de recherche. Site généraliste.
• http://www.google.fr
Moteur de recherche généraliste mais efficace.
• http://www.fuslac.be/Files/General/BCS/Bib.html.
Bibliotheca Classica Selecta ou Introduction aux études classiques. L’outil de recherche
bibliographique le plus utile du NET. Cette version francophone
(Louvain) utilise une base de données très importante (150 revues
d’histoires anciennes dépouillées depuis 1992 et mis à jour) :
un complément essentiel à l’Année Philologique.
• http://allserv.rug.ac.be/~kverbove/IAHRG/
Internet Ancient History Resource Guide de Koen Verboven (Gand). Un portail classé thématiquement.
Pour les bibliographies d’orientation.
• http://www.sudoc.abes.fr/
Recherche bibliographique dans les bibliothèques françaises,
dont la Sorbonne : on peut avoir facilement les cotes, et
préparer ainsi sereinement ses campagnes photocopiques…
• Site de la BnF : http://www.bnf.fr/ où l’on peut aussi avoir références
et cotes, sans se rendre sur place.
• www.univ-reims.fr/BU
Site de la BU de Reims.
• http://callimac.vjf.cnrs.fr:8080/AnPhilNet/AnPhilNet.html
L’Année philologique sur internet
• http://lcwebloc.gov./global/classics/claslink.html
Greek and Latin Classics Internet Resources de la Bibliothèque du Congrès (Washington).
3. Sites généralistes et revues
• http://www.ukans.edu/history/index/europe/ancient
rome/F/home.html
Le site « guide » de Bill Thayer pour l’histoire
romaine, à la fois ludique et scientifique.
• http://www.houseofptolemy.org
House of Ptolemy.
Un site dédié à l’Égypte grecque, romaine et byzantine.
• http://www.scd.univ-lille3.fr/bsa/Ptolemaica.htm
Un site de l’Université Lille III dédié à l’Égypte ptolémaïque
(C. Hugot)
• http://www.ulg.ac.be/facphl/services/cedopal
« Alexandria docta : sur la vie intellectuelle
à Alexandrie (N. Istasse)
• http://www.sfu.ca/nomoi
Nomoi. Bibliography of Ancient Greek Law (D. Mirhady et I. Arnaoutoglou)
• http://www.ulg.ac.be/vinitor/rida
RIDA. Revue internationale des droits de l’antiquité
• http://www.lededizioni.it/catalogo/dike/dike.html
Dike. Rivista di Storia del Diritto Greco e Ellenistico
(Milan).
• http://www.stoa.org/diotima/
Page d’accueil du serveur, spécialisée dans l’histoire
des femmes à l’époque grecque et romaine mais allant bien au-delà.
Beaucoup de choses, à trier.
• http://www.economia.unibo.it/dipartim/stoant/rassegna1/autgr.html
Site de l’université de Bologne, rassemblant les ressources
dispersées sur le WEB pour beaucoup d’auteurs anciens : bibliographies, traductions, articles
en ligne, avec de grandes disparités suivant les auteurs).
•
http://www.phil.uni-erlangen.de/~p2latein/ressourc/ressourc.html
Un des sites les plus complets faisant le tour des ressources
disponibles en histoire ancienne sur le NET.
• http://trentu.ca/www/cl/resources.html
Une page d’accueil dédiée à la recherche en histoire
grecque, avec notamment la liste des thèses en cours et publiées.
• http://www.dur.ac.uk/Classics/histos/
Un exemple de revue d’histoire grecque en ligne depuis
1997.
• http://www.uni-koeln.de/phil-fak/ifa/zpe/downloads/
Le Zeitschrift für Papyrologie und Epigraphik
désormais partiellement en ligne (1990-2000).
• http://www.gnomon.ku-eichstaett.de/Gnomon/fr/Gnomon.html
La revue allemande Gnomon propose un accès gratuit
aux comptes rendus bibliographiques récents sur Gnomon online
( Système d’information de l’Université catholique d’Eichstätt
pour les Sciences de l’antiquité).
• http://ccat.sas.upenn.edu/bmcr/
Revue bryn-Mawr. Il est possible de s’inscrire et de
recevoir dans sa boîte aux lettres électronique des comptes rendus
bibliographiques, souvent de qualité, des ouvrages parus en histoire
grecque et romaine, ainsi qu’une liste des ouvrages reçus chaque
mois.
• http://www.umi.com/hp/Support/DExplorer/
Site de l’UMI pour connaître les thèses anglaises, avec
une possibilité d’achat par correspondance (environ 200 francs
pour une thèse).
On y trouve les livres les plus récents, avec, souvent,
une table des matières permettant de se rendre compte de la perspective
adoptée.
http://librarius.fr/boutique
(Librarius.net: La boutique de l’antiquité gréco-romaine)
http://www.bn.com (Barnes & Nobles)
http://www.amazon.fr
http://www.amazon.com
http://bookshop.blackwell.co.uk/
• http://www.univ-reims.fr/Labos/CERHIC/
Le site de l’Équipe d’accueil « CERHIC, Histoire
culturelle : représentations et modes de contact ».
Université de Reims Champagne-Ardenne.
• http://pheacie.univ-paris1.fr
Le site de l’Équipe d’accueil « Phéacie, les
pratiques culturelles dans les sociétés grecques et romaines »,
Université Paris I Panthéon-Sorbonne et Paris VII Denis-Diderot.
• http://www.ephe.sorbonne.fr/UMR8585/n91.htm
Le site de l’UMR Gustave-Glotz (CNRS-EPHE-Paris I-Paris
IV). Feuille d’annonces des Colloques et Congrès.
• http://www.ehess.fr
Pour consulter le site du Centre Louis Gernet
http://panoramix.univ-paris1.fr/UFR09/ECOLE_DOCTORALE/doctofia.htm
La page du site de l’université de Paris I consacrée
à la recherche en histoire ancienne
• http://www.histoire.ens.fr
Le site du département d’histoire de l’Ecole normale
supérieure de la rue d’Ulm (avec le programme des cours, séminaires
et conférences)
• http://www.cnrs.fr
• http://barthes.ens.fr/atelier/articles/beguin-nov-96.html
« Les antiquisants face à l’informatique et aux
réseaux ».
• http://www.college-de-france.fr
• http://argentoratum.u-strasbg.fr/
Le site de la Maison inter-universitaires des Sciences
de l’homme-Alsace (MISHA)
• http://www.ox.ac.uk
Site de l’Université d’Oxford : cours, séminaires,
personnel enseignant, bourses d’études, etc.
• http://www.ccc.ox.ac.uk
Site du collège Corpus Christi, haut lieu de la recherche
britannique sur l’antiquité (lettres classiques surtout)
• http://www.sas.ac.uk
Site de la School of Advanced Studies à Londres :
Institute of Classical Studies, Warburg Institute,
etc
• http://www.perseus.tufts.edu/
La plus grande banque de données de textes grecs et anglais/grec
(édition et traduction LOEB, papyrus documentaires), accessible
sur la Toile. (attention, il n’y a pas toute la littérature
grecque). À consulter aussi pour l’iconographie. Un site fondamental !
• http://bcs.fltr.ucl.ac.be/SLInf4.html
E-text de l’antiquité en ligne, dans des traductions
françaises souvent libres de droit.
1. Le Thesaurus linguae graecae (TLG)
L’adresse du fournisseur du CD-ROM est http://www.tlg.uci.edu/~tlg/index.html (comptez environ 2000 francs pour une licence
individuelle).
La liste des logiciels permettant d’exploiter le CD-Rom,
sur MAC ou bien PC (nouvelles version faisant tourner le TLG E)
y est disponible, avec possibilité d’achat à l’adresse http://www.tlg.uci.edu/~tlg/Software.html.
• Catalogue des papyrus littéraires grecs et latins.
Fichier Mertens-Pack3 constitué par le CEDOPAL (Centre de Documentation
de Papyrologie Littéraire, Université de Liège, Directrice Marie-Hélène
Marganne, cedopal@ulg.ac.be )
Adresse : http: // www.ulg.ac.be/facphl/services /cedopal/
• Un portail pour les papyrologues (Association
internationale de papyrologues, Bruxelles)
Adresse :
http://www.ulb.ac.be/assoc/aip/liens.htm/
• Le site de l’université Duke permet d’accéder à la
plus grande partie des corpus papyrologiques (Duke Data
Bank of Documentary Papyrus, DDBDP). Plus de 500 volumes numérisés !
Adresse :
Par le portail Perseus
• Présentation des collections : Willy Clarysse
et Herbert Verreth (éd.), Papyrus Collections World Wide (9-10
mars 2000, Bruxelles-Louvain), Bruxelles, 2000 (Koninklijke Vlaamse
Academie van Belgie voor Wetenschappen en Kunsten)
http://milennium.ars.kuleuven.ac.be//lhpc
• American Society
of Papyrologists
http://scolar.cc.emory.edu/scripts/ASP/ASP-MENU.html
• Ancient Greek Music
on Papyrus (W.A. Johnson)
http://classics.uc.edu/music/index.html
• Ann Arbor, University of Michigan
http://www.lib.umich.edu/pap/
• Archives Photographiques Internationales de Papyrologie,
Copenhague
http:/coco.ihi.ku.dk/~bulow/aipdescr.html
• Association Internationale d’Etudes Coptes-International
Association for Coptic Studies
http://RmCisadu.let.uniroma1.it/~iacs/
• Bible Pages (Brême, W. Willker)
http://www-user.uni-bremen.de/~wie/ww_tc.html
• Bibliotheca Classica
Selecta. Papyrologie
http://bcs.fltr.ucl.ac.be/Papy.html
•Bruxelles. ULB. Site Claire
Préaux (Biographie, Bibliographie).
http://www.ulb.ac.be/philo/cpeg/preaux.htm
• Bulletin of the
American Society of Papyrologists (BASP)
http://scolar.cc.emory.edu/scripts/ASP/BASP/BASP.html
• Le Caire, Institut français d’Archéologie Orientale
du Caire (IFAO)
http://www.ifao.egnet.net/
permet de télécharger les polic
• Le Caire, Deutsches Archäologisches Institut
http://www.dainst.de/de/abt/kairo.html
• Chicago, Oriental
Institute
http://www-oi.uchicago.edu/OI/DEPT/RA/ABZU/ABZU.HTML
• Cologny-Genève,
Fondation Martin Bodmer
http://www.ville-ge.ch/geneve/culture/musees/musees/bodmer.htm
• Complete List of
Greek NT Papyri (W. Willker)
http://www-user.uni.bremen.de/~wie/texte/Papyri-list.html
• The Coptic
Network
http://www.coptic.net/cn/Menu.html
• Corpus dei papiri filosofici greci e latini
http://www.dada.it/columbaria/corpus.htm
• Florence, Istituto G. Vitelli
http://www.ino.it/~annalisa/pap_it.html
• Gießen, Kurzberichte aus den Papyrussammlungen
• Heidelberg, Institut für Papyrologie
http :www.uni-heidelberg.de/institute/fak8/papy/
• Heidelberg, Papyrussammlung
http://www.rzuser.uni-heidelberg.de/~gv0/Papyri/P.Heid._Uebersicht.html
• Homer and the Papyri.
Site du Center for Hellenic Studies, Harvard (D.F. Sutton)
http://chs.harvard.edu/
• Kobenhavn, P. Carlsberg
http://www.hum.ku.dk/cni/papcoll/
• Kobenhavn, P. Haun.
http://adam.igl.ku.dk/~bulow/PHaun.html
• Köln, Papyrussammlung
http://www.uni-koeln.de/phil-fak/ifa/NRWakademie/papyrologie/
• Lecce, Centro di Studi
Papirologici
http://siba2unile.it/images/papiri/csp.htmll
• Leipzig, Leipzigerpapyri
http://opac.ub.uni-leipzig.de/papyri.htm
• Leuven, Katholieke Universiteit
Leuven
http://www.kuleuven.ac.be/facdep/aets.kuleuven.ac.be/lhpc/
• London, Egypt Exploration Society
http://britac3.britac.ac.uk/institutes/egypt/index.html
• Marburg/Lahn, Institut
für Rechtsgeschichte und Papyrusforschung
http://www.jura.uni-marburg.de/papyrusforschung/
• Marriage & Divorce
Papyri of the ancient Greek, Roman and Jewish World (D.
Instone-Brewer)
http://www.tyndale.cam.ac.uk/Brewer/MarriagePapyri/Index.htm
• Mythographic Papyri
(M. Huys, Th. Schmidt)
http://perswww.kuleuven.ac.be/~p3481184/mythog.htm
• New Haven, Yale university
http://www.library.yale.edu/beinecke/aboutpap.htm
• New York, Columbia Universty
http://www.columbia.edu/cu/libraries/indiv/manc/manc.ancient.html
• Oxford, Center for the Study
of Ancient Documents
http://www.csad.ox.ac.uk
• Oxyrhynchus Papyri
http://www.csad.ox.ac.uk/POxy/
• Paris, Institut de Papyrologie de la Sorbonne (Paris
IV)
papysorb@paris4.sorbonne.fr
• Princeton, Princeton University
http://www.princeton.edu/papyrus/
• Recording, Processing
and Archiving Carbonized Papyri
http://www.cs.hut.fi/papyrus
• Siracusa, Museo
del Papiro
http://sistemia.it/museopapiro/
• Strasbourg, L’Empédocle de Strasbourg (A. Martin
et O. Primavesi)
http://www.degruyter.de/highlights/martin.html
• Strasbourg, Institut de Papyrologie
http://semainescience.u-strasbg.fr/test2/papyrus.html
• Vom Knäuel zum Blatt (P. Arzt-Grabner)
http://sbg.ac.at/nbw/docs/konserv.htm
• Wien, Papyrussammlung
http://www.onb.ac.at/ev/sammlgn/sapali.htm
• LDAB (Leuven Data-Base of Ancient Books), Willy
Clarysse et alii, Louvain, Katholieke Universiteit Leuven,
1998 (C.R. Jan Lenaerts, Chronique d'Égypte t. 74, 1999,
p. 375-379).
• Bibliographie papyrologique. Fichier électronique
1960-1999, Subsidia Papyrologica 1.0, réalisé par Georges
Nachtergael et Alain Martin, Bruxelles, Fondation Egyptologique
Reine Elisabeth, 2000.
• Compléments à Fr. Bérard et alii, Guide de l’épigraphiste.
Bibliographie choisie des épigraphie antiques et médiévales,
3e éd., Paris 2000
http://www.ens.fr/antiquité
• Association Internationale d’Epigraphie Grecque et
Latine (AIEGL)
http://www.uni-koeln.de/phil-fak/ifa/altg/eck/aiegl.html
• Les textes sont accessibles sur CD-Rom : PHI Documentary
CD≠7. Ce CD-Rom est réalisé par le Cornell Greek Epigraphy
Project. Le site du Cornell Greek Epigraphy Project donne la liste
des corpus épigraphiques gravés sur le CD-Rom, et permet de le
commander :
http://132.236.125.30
La plupart des sites sont pluridisciplinaires (histoire,
philologie, archéologie) et s’intéressent à plusieurs périodes.
Stimulus :
Le site d’Hervé Duchêne (Université de Bourgogne) consacré
à l’archéologie grecque.
http://www.u-bourgogne.fr/STIMULUS/
Argos :
il recense plusieurs moteurs de recherche spécialisés. Il faut
indiquer l’objet de la recherche (en anglais) et il renvoie à
plusieurs sites qui mentionne le mot. Argos concerne le Proche-Orient,
l’antiquité classique et la période médiévale. Il recense ses
informations à partir entre autres de ABZU, Diotima (gender Studies),
Kirke, Perseus, Romarch (Roman art and Archeology), Bryn Mawr,
The Duke Papyrus archive, Gnomon online, etc.
Adresse : http://argos.evansville.edu
Plus spécifique à l’archéologie européenne dans son ensemble,
ARGE, Archeological Resource Guide for Europe, est
très utile si l’on s’intéresse aux chantiers fouillés. Il recense
les sites web pour chaque pays : 57 pour la Grèce, 15 pour
la Turquie et 144 pour l’Italie. Ces sites web sont très divers :
banques d’images, photos, rapports de fouilles. Le site ARGE n’est
pas complet mais apporte de nombreuses informations. Il est simple
d’utilisation. On peut faire une recherche à partir d’un pays,
d’une période ou d’un thème.
Adresse : http://odur.let.rug.nl/arge/
Le site Mediterranean Archeology resources
offre une liste de liens non exhaustive mais intéressante sur
l’antiquité méditerranéenne et l’archéologie en général. Organisation :
revues, bibliographie et moteurs de recherche. En outre, le site
recense la majorité des écoles étrangères de Grèce et de Sicile,
comme l’Ecole française d’Athènes ou de Rome.
Adresse : http:// www.geocities.com/i_georganas
Le site de l’université de Liège, qui s’intéresse
à « l’histoire de l’art et l’archéologie du monde gréco-romain »,
propose une liste de sites web organisée en plusieurs domaines :
archéologie, bibliographie, sites archéologiques, etc. Inconvénient :
les sites web ne sont ni commentés, ni même classés.
Adresse : http://www.ulg.ac.be
Dans le même esprit, le site américain Classical
and Mediterranean Archeology recense sous forme d’une
liste non organisée les sites web concernant la bibliographie,
les sites archéologiques grecs, les musées, etc. Il n’y a aucun
commentaire sur les sites web répertoriés.
Adresse : http://classics.lsa.umich.edu
L’université de Lausanne, section des « sciences de l’antiquité »,
propose une page intitulée « L’antiquité sur Internet ».
Il y a relativement peu de sites répertoriés, mais ils sont tous
présentés et commentés en français. Il s’agit surtout de sites
qui sont eux-mêmes des moteurs de recherche.
Adresse : http://www.unil.ch/scant
Un portail en italien doit être mentionné, le Rassegna degli
strumenti informatici per lo studio dell’Antichità classica.
Son principal intérêt réside dans le fait que les nombreux sites
répertoriés sont accompagnés d’un commentaire les décrivant. On
peut cependant regretter la présence de sites dont l’intérêt scientifique
laisse à désirer (sites touristiques, vantant les mérites d’une
agence de voyage par exemple !)
Adresse : http://www.economia.unibo.it/dipartim/stoant/rassegna1/intro.html
Un portail concernant plus spécialement l’Égée est intéressant.
Il s’agit de KAPATIJA, Aegean information sites,
un site web d’archéologie égéenne. Il mène à d’autres sites web,
mais ceux qui sont mentionnés dans la rubrique C3 renvoient sur
des sites archéologiques grecs.
Adresse : http://www.duke.edu/web/jyounger/Kapatija/#C1
Le site Romarch, Art et Archéologie romaine,
est aussi très intéressant car il renvoie sur des sites archéologiques
souvent très bien faits. Une carte permet de sélectionner le pays
sur lequel on souhaite trouver des informations concernant les
sites archéologiques d’époque romaine.
Adresse : http://acad.depauw.edu/romarch/index.html#gen
Ce sont de loin les sites les plus nombreux. La plupart
des revues sont en ligne.
Signalons le site de l’École française d’Athènes
qui permet de consulter l’état des collections de la bibliothèque
(avec les cotes des ouvrages), et de s’informer des fouilles en
cours (sans que soient accessibles les rapports de fouilles).
Adresse : http://www.efa.gr
Internet Archeology est une revue anglo-saxonne d’archéologie en ligne. Elle recense des
articles de la fin de l’année 1996 à la fin de l’année 2000. Fiabilité
à mesurer plus précisément.
Adresse : http://intarch.york.ac.uk
L’American Journal of Archeology propose
des résumés d’articles et de livres, ainsi que la table des matières
de chaque revue depuis 1991. Aucun article n’est cité in extenso.
Le site est assez bien fait et rapide.
Adresse : http://www.ajaonline.org
Ce sont les sites les moins nombreux et ils sont souvent
décevants dans leur présentation et dans leur contenu.
Le site du Ministère de la culture grec est assez
bien fait, mais s’adresse à un public de touristes. Chaque site
archéologique et historique est recensé et présenté sommairement.
Les principaux monuments sont décrits, parfois accompagnés d’une
photographie. Il est possible de faire une recherche sur un monument
précis. Des informations pratiques sont communiquées pour chaque
site (horaires d’ouverture, tarifs, etc.) Le site propose également
la liste de tous les musées (avec les informations pratiques nécessaires),
de leur histoire et de l’état général de leurs collections.
Une grande carte de la Grèce permet de sélectionner une
région et de visualiser l’ensemble des sites se trouvant dans
la zone. Sur chaque site, il est possible de « zoomer ».
Ce site web ne comprend évidemment pas les sites archéologiques
situés à l’étranger et la Turquie ne semble pas avoir encore de
site d’une aussi bonne qualité.
Adresse : http://www.culture.gr
Le site le plus performant est PERSEUS. Son grand
désavantage est sa lenteur. Il fonctionne comme un moteur de recherche,
mais seulement sur sa propre banque d’information. On peut passer
par diverses entrées, comme un site, un monument, une sculpture,
une divinité, un auteur moderne.
On peut alors obtenir un atlas (ce qui est généralement
très peu intéressant), des images, des plans, des photographies,
des monnaies, des entrées encyclopédiques, des citations littéraires
d’auteurs classiques et modernes… Les œuvres ont droit à une fiche
d’identité très complète et très pratique, avec une illustration
le plus souvent. Un lexique en anglais est prévu pour ceux qui
ne connaissent pas la traduction en anglais de tous les sites
et de tous les mots-clés concernant la Grèce. La bibliographie
n’est pas toujours complète, et l’on n’y trouve que des informations
bibliographiques, jamais de résumé des articles ou des ouvrages
cités. D’une manière générale, de nombreux champs de recherche
sont incomplets. Sur Éphèse par exemple, A. Bammer, qui dirige
actuellement les opérations de fouilles, n’est cité que sous une
référence ancienne et non par son dernier ouvrage, daté de 1991.
Aucun lien n’est proposé, ce qui est dommage.
Adresse : http://www.perseus.tufts.edu
Sur l’Asie Mineure, on peut consulter le site
de l’université américaine d’Evansville qui recense tous les sites
archéologiques et propose une description de chacun d’entre eux.
Cela reste assez sommaire. Les cartes de la Grèce sont utiles
pour faire des fonds de carte.
Adresse : http://archeology.evansville.edu
Un site touristique napolitain mérite d’être présenté.
Il propose pour certains sites archéologiques des plans et des
photographies accompagnés d’informations sur les sites. Ce n’est
pas un site scientifique mais il peut être utile pour une première
approche. On y trouve notamment les sites de Cumes, Averno, Baia,
Bacoli, Mineno, Naples.
Adresse : http://www.cib.na.cnr.it/CampiFlegrei/indice.html
Le site METIS : QTVR Interface for ancient Greek
archaeological sites est très utile, mais assez pauvre.
Son principe est de proposer des informations et parfois un plan
concernant un grand nombre de sites grecs. On y trouve des photographies
et une bibliographie. METIS travaille surtout avec Perseus.
Adresse : http://www.stoa.org/metis/
Maecenas est
un site qui propose des photographies des principaux sites du
monde grec et de l’empire romain. Sa banque de données est impressionnante :
plus de 1550 photos ! Plusieurs angles de vue peuvent être
proposés pour un même monument. On peut regretter cependant que
la Grèce continentale soit peu représentée : Athènes, Corinthe,
Delphes, Mycènes, Olympie. Pour la grande Grèce, on trouve Agrigente,
Paestum, Ségeste, Sélinonte et Syracuse. La partie touchant à
l’archéologie du monde romain est beaucoup plus détaillée. Les
prises de vues de Rome sont innombrables.
Adresse : http://wings.buffalo.edu/AandL/Maecenas/
Le site The ancient city of Athens est aussi une
banque d’images mais elle est consacrée entièrement à Athènes.
L’Acropole est largement représentée, à tous les niveaux de son
histoire archéologique. On trouve également sur ce site les monuments
entourant l’Acropole, la Pnyx, les agoras grecque et romaine,
la bibliothèque d’Hadrien, le monument de Lysicrate, l’arc d’Hadrien,
l’Olympiéion, le sud-est d’Athènes et le Céramique.
Adresse : http://www.indiana.edu/~kglowack/athens/
Pour diversifier notre recherche on peut consulter un
site web sur les sites archéologiques d’époque minoenne.
Ce sont surtout des photos (au nombre de 130). Cependant, chaque
site est accompagné d’une présentation et description et de plusieurs
clichés. On y trouve les palais (Phaistos, Mallia, Zacros), les
premiers établissements, les principales nécropoles et les autres
sites.
Adresse : http://www.uk.digiserve.com/mentor/minoan/index.htm
Un site original : le site consacré au bateau
de Néron retrouvé au fond du lac Nemi et détruit durant la
seconde guerre mondiale. On y découvre le projet de reconstruction
de l’embarcation, des images d’époques et des photographies des
objets découverts lors de la fouille.
Adresse : http://www.virtual-pc.com/orontes/index.html
Le site web sur Isthmia mérite d’être mentionné.
Les fouilles organisées par l’université de Chicago font
l’objet d’une étude particulièrement riche. On y trouve des informations
sur le site et la fouille elle-même, mais aussi les publications
dont l’Isthme a fait l’objet, d’une bibliographie, d’une
reconstitution assistée par ordinateur du sanctuaire de Poséidon.
On y trouve également l’introduction du rapport de fouille sur
les objets découverts dans le temple archaïque. On peut regretter
cependant, l’absence de plan du site ou de photographies.
Adresse : http://humanities.uchicago.edu/isthmia/isthmia.html#anchorRachi
L’université de Chicago n’est pas la seule à travailler
sur Isthmia. L’Ohio State University (OSU) fouille
également sur ce chantier. Son site web est très bien fait. Les
principaux monuments dont ils ont la charge sont décrits avec
des photos et des cartes ou plans. Le musée est également présenté
à travers les objets les plus important qui y sont exposés. Il
est appréciable d’y trouver les rapports préliminaires de 1992
à 1999, chose rare qui mérite donc d’être mentionné.
Adresse : http://www.osu.edu/history/isthmia/
Certains sites archéologiques sont mieux lotis que d’autres.
C’est le cas d’Ostie qui bénéficie d’un site Internet vraiment
intéressant et bien fait. Ostia : Harbour of Anciant
Rome est à visiter sans faute.
Les informations que propose ce site web sont de natures
très variées et s’adressent à tous les niveaux. On y trouve :
§
deux présentations
du site archéologique, l’une sommaire, l’autre plus détaillée
§
des articles
concernant un point précis de la ville, et souvent illustrés de
plans et de vues
§
un historique
des fouilles et des images anciennes (du XVIIIème siècle)
§
des plans
archéologiques de la ville
§
les rapports
de fouilles, avec des liens vers les sites web des universités
qui les ont en charge
§
toute une
série de sources concernant Ostie (textes, inscriptions,
graffiti)
§
un dictionnaire
topographique (52 monuments détaillés). On peut choisir son monument
en cliquant sur un plan. Il est alors décrit, puis les diverses
phases de sa construction et de sa découverte sont rappelées.
Des plans et des relevés sont disponibles ; les inscriptions
retrouvées sont présentées visuellement ; une restitution
graphique du monument est proposée, ainsi que des photos de la
fouille elle-même et de l’état actuel du monument.
Adresse : http://www.ncl.ac.uk/ostia/
Pour montrer la variété des ressources archéologiques
que l’on trouve sur Internet, il faut présenter le site du cimetière
Fikellura à Kameiros, Rhodes. Ce site n’est pas du tout convivial.
Il propose simplement aux chercheurs une sorte de base de données.
Les tombes exhumées sont répertoriées et entrées par numéro dans
une grille (elles occupent leur place « archéologique »).
Quand on clique sur l’une d’elle, on obtient une recension du
matériel retrouvé (avec leur numéro d’inventaire) dans la tombe
et parfois une indication sur son occupant. Il n’ y a aucune photographie,
aucune explication, mais de l’information brute. Cela peut paraître
paradoxal, mais ce type de site est rare sur la toile et pourtant
très intéressant, car ce sont des données difficiles à trouver.
Quelques critiques : pas de présentation du site archéologique,
pas de datation, pas d’information sur le contenu du cimetière
ni sur la manière dont le défunt est inhumé.
Adresse : http://www.swan.ac.uk/classics/staff/dg/fikellura/
Pour l’Égypte grecque
et romaine, il existe des sites pour Alexandrie et
le village de Samareia (Fayoum)
• Das Dorf Samareia
im griechisch-römischen Ägypten,. Eine papyrologische Untersuchung (Cl. Kuhs)
http://www.ub.uni-heidelberg.de/archiv/479
• Alexandrie, Centre d’études alexandrines (J.-Y. Empereur) –Site
en anglais.
http://www.greece.org/alexandria/cea/index.htm
• Alexandrie, Society
for Underwater Exploration (F. Goddio)
http://www.underwaterdiscovery.org
Certains sites archéologiques peuvent être présentés
par les écoles qui les fouillent. Les moteurs de recherche donnent
les adresses de tous ces instituts.
L’Institut suisse se propose de donner des
informations sur les fouilles d’Érétrie. Seulement, on
n’y trouve pas les rapports de fouille ni les plans du site ni
même les objets récoltés. Le site web renvoie à des publications
dans les diverses revues spécialisées et consultables (au moins
sous la forme de résumé).
Adresse : http://www.unil.ch/scant
Le site de l’American Academy in Rome propose
des liens avec les principaux sites fouillés récemment par les
universités américaines. Les lieux fouillés sont : la villa
d’Horace (Licenza), Ostie (en collaboration avec l’Institut
Archéologique allemand), Stabiae, Stanovia (site
étrusque), la maison de Diane à Cosa… Mais les informations
sont superficielles et décevantes.
Adresse : http://www.aarome.org/
En revanche le site de l’American school of Classical
Studies at Athens est très bien fait. Tous les sites grecs
qui leurs sont confiés sont présentés. On y trouve des informations
concernant Pylos, Locris, Isthmia, la vallée
de Némée, Mochlos (Crète), le Péloponnèse,
etc.. Les sites web sont gérés par les universités qui ont la
responsabilité de la fouille, ce qui donne des informations très
différentes tant sur le plan de la qualité que de la quantité.
Adresse :
http://www.ascsa.org/
La British School at Athens propose un site peu
clair. Mais avec de la persévérance, on arrive à trouver des informations
précises sur les sites qu’elle a en charge : Knossos est à trop
peu développé. Aucune carte, plan ou objets découverts en fouille.
En revanche l’entrée « archive » offre davantage d’informations.
Les sites fouillés par les Anglais sont : Chios, Cithère,
Lefkandi, Ménélaion, Sallagros, Pérachora,
Sparte, Therme, Palekastros, Mycènes,
et des sites byzantins.
Adresse : http://www.bsa.gla.ac.uk/main.html
Le site de l’Institut danois est très décevant.
Il ne donne presque aucune information. Tous juste pouvons-nous
savoir que les sites archéologiques fouillés par les équipes danoises
sont : Kephalonia (île ionienne), Kattavia
(sud de Rhodes), Kato Vasiliki (ex-Chalcis en Étolie sur
la côte nord du golfe de Corinthe).
Adresse :
http://www.diathens.com/main-uk/index.htm
Le site de l’Institut Archéologique allemand est
décevant également bien que très structuré. Tous les sites fouillés
par l’institut sont mentionnés, mais les informations ne sont
pas à la hauteur de l’attente suscitée. Il y a pour chaque site
un historique du lieu et de la fouille, mais aucune photographie
ni carte. Pour la Grèce : Égine, le Céramique,
Olympie, Orchomenos, Samos, Stratos,
Tirys. Pour l’Italie (grecque et romaine): Gela,
Crotone, Métaponte, Ostie, Paestum,
Pompéi, le Colysée, Sélinonte, Sybaris,
Suracuse, etc.
Adresse : http://www.dainst.de
Le site de l’École Française de Rome est l’un
des plus réussis. Une liste des chantiers de l’école est donnée.
Chaque site est présenté, la dernière chronique est en ligne,
accompagnée de plans et de photos. Les informations pratiques
sont aisément visibles. Les sites sont à Rome le Pincio
et le Palatin, Aquilée (Italie du nord), Musarna
(Étrurie), Paestum et Tricarica (Grande Grèce) et
des sites médiévaux.
Adresse : http://www.ecole-francaise.it/
Il existe également un site
de l’Ecole française d’Athènes.
Adresse :
http://www.efa.gr
Le site de L’Institut français d’Archéologie Orientale
du Caire (IFAO) permet de télécharger les polices de caractère
grecques et démotiques. Les BIFAO (Bulletin de l’IFAO)
seront mis prochainement en ligne.
http://www.ifao.egnet.net/
On pourra aussi consulter le site de l’Institut archéologique
allemand du Caire (Deutsches Archäologisches Institut)
http://www.dainst.de/de/abt/kairo.html