A- Introduction : comment l’histoire vient à l’Internet
B- Qu’est-ce qu’une information historique ?
-
Une
information
-
Une
information historique
-
Des
types d’information
C- Qu’est-ce qu’un bon site, première approche ?
-
La
réponse à la question posée
-
Le
retour à l’auctoritas : les paramètres indispensables
-
L’objet
« géographique »
D- Les lieux de l’information : profils types et manières de stockage
-
Langages
du réseau : HTML, etcà
-
Des
mises « en ligne » différentes
-
De
l’accessibilité des informations
E- Retrouver une information : les « lieux » de la recherche
-
Réseaux
d’informateurs : le « un à un » ou le « un
à plusieurs »
-
Le
travail des spécialistes
o
listes
de sites
o
index
o
moteurs
spécialisés
-
Annuaires
génériques en ligne : le travail des non spécialistes
-
Les
moteurs de recherches
o
génériques
o
moteurs
de recherches à caractère particulier
o
un
cas particulier : les moteurs de recherche internes
-
Meta
moteurs de recherche
F- Qu’est-ce qu’un bon site, deuxième niveau
-
Les
« bruit » et le « signal »
-
Un
site mis à nu
-
Les
paramètres visuels : la charte graphique
-
La
navigation : outils pour l’utilisateur
G- Retrouver une information : les « stratégies» de la recherche
-
Qu’est-ce
qu’un mot clé ?
-
Les
langages d’interrogation
-
Des
approches standard :
o
Du
plus large au plus serré
o
Une
approche thématique
o
L’exploration
géographique
-
Les
questions de langue
H- Les droits de l’Internet : utilisation et mise en ligne
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A- Les grandes dates de l’histoire du réseau. Les dix dernières
années de l’histoire en ligne en France. Les grandes dates
des mises en ligne historiques en Europe (Bibliothèques,
catalogues, sitesà)
B- La notion, la catégorie, le mot clé. Une information
complexe, une information simple. Conditions de « validité »
des informations et documents du web. Conditions de « validité »
des informations et documents historiques du web.
Les formats numériques de l’information.
C- * Déconstruire la question pour apporter la meilleure
réponse possible. Paramètre subjectifs : qualité,
validité, niveau des utilisateurs, etcà
*
Paramètres objectifs : ce qu’il y a dans un site
web. Auteur technique et auteur scientifique. Date de
création, date de mise-à-jour. A la recherche des spécialistes :
universitaires, chercheurs, institutions, etcà
*
Des oppositions simples pour qualifier un site web
: site personnel / site professionnel ou institutionnel ;
site commercial / site institutionnel ; site entier
/ page d’un site, à
D-
Les langages des sites : notions de HTML (les pages
persos et les sites classiques), de XML (le dynamisme,
les possibilités de mise-à-jour), de bases de données
(catalogues de bibliothèques et de commerçants, protection
de l’information, fermeture aux moteurs de recherche),
etcà Comment utiliser chacun de ces formats.
E-
Notions de base : un spécialiste est facilement accessible.
Les questions a renvoyer au spécialiste et celles a garder
« en ligne ». Les points nodaux des réseaux
de personnes (laboratoires, associations, listes, forumsà).
-
Le
travail mis en ligne par les spécialistes : listes
de sites, index et portails spécialisés, moteurs de
recherche thématiques.
-
Les
index d’informations réalisés par des non spécialistes :
avantage et limites. La notion de « grand public ».
-
Les
grands moteurs de recherche en ligne : le syndrome
« tiramisu » , croissance et mortalité
du référencement et des sites, techniques de stockage
et de recherche, les modes de classement des sites,
les contenus en terme de pourcentage du total (thèmes,
langues, nationsà). Les différences moteur générique
/ moteur de recherches interne.
Mes
moteurs de deuxième niveau, utilisant les possibilités de
recherche des autres : metamoteurs, metamoteurs locaux,
moteurs graphiques.
F-
Rapide approche de la théorie du signal, appliquée aux
listes de résultats des moteurs de recherche. Les éléments
d’information présents dans le code source d’une page.
De l’homogénéité et de la cohérence de la sémiologie graphique
d’un site, de ses outils de navigation et d’information
(index, glossaire, « glodex », plan de site,
moteur de recherche interne), ainsi que des paramètres
objectifs de prise en compte de la totalité du site (profondeur,
largeur, stabilité des codes, accessibilité de l’information
en nombre de clics, etcà)
G-
La notion, la catégorie, le mot clé : approfondissement
des notions, mise en parallèle avec les classements documentaires
en bibliothéconomie (Dewey, etcà). Les langages d’interrogation
des moteurs de recherche, avec en particulier les éléments
booléens. Limites de ce type de démarche : le sens,
les langues, l’existant. Les principes de sélection des
mots clé d’interrogation : par approches successives
ou par un mot clé unique, par définition du thème, ou
au plus proche de sujet géographiquement Le choix de la
langue en fonction du sujet : approche par géographie,
par intérêt national ou régional, par facilité de choix.
H-
Les textes et les sources en ligne. Ce qui est interdit
partout. Le droit de propriété des éléments en ligne :
textes, images, animations, liens, etcà Droits d’usage
et exclusions. La citation et le renvoi. En quoi est-ce
un droit mouvant : un réseau mondial et des législations
nationales essentiellement.
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